L’arbre et les feuilles seules sont d’oiseau l’un l’autre
Ils sont étrangers ainsi
Leurs pleurs demeurent des terres de douleur
Nous nous répondons des frémissements dont s’émeut l’espace
Maëlys H.
L’espace de rosée l’un à l’autre sont des douleurs
étrangères
Maëlys H. et Clarisse
Des oiseaux seuls sont leur douleur étrangère
Maëlys H. et Clarisse
La rivière est haute
Le soleil se lève
Le bal va commencer
Sur la colline il neige
Elle est plus haute que la fenêtre
Dans la coquille
Il y a beaucoup d’insectes
La casserole est au chaud
Le temps est froid
Rien n’est dangereux
La lampe est grillée
Le temps préféré
Maëlys H.
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