mardi 24 avril 2018

Expérimentations poétiques à l'école de Mâle

Les roses de ton enfance
Sont un motif chinois
La guerre est au piton
Dans son fauteuil un soldat
Mange une gaufre au Nutella
Dans tes pensées très naturelles
La lumière fait des merveilles
Classe de Dany

Des tourbillons passent par Paris
Et aussi passe la mer
Passe devant le volcan
Qui a emporté des chaînes
Une jalousie qui passe
Un ami voit ça
En mangeant un croissant
Et passe devant un mari
A emporté une flamme
Il passe pendant une seconde
Lily-Rose

À Paris, tour à tour
Tourbillonnent des chaînes
En croissant plusieurs secondes
Nolan

À Paris, la mer et les vagues dansent
La jalousie tourne autour du tourbillon
Le croissant doucereux vient nous voir
Mon mari demande toujours mon âge
La chaîne seconde mes besoins
Jade D.

Les tourbillons de vagues
Dans la mer étaient
Comme jaloux de deux
Mariés à Paris
Une amie doucereuse
Était un volcan
De flammes en lui
Adèle

Le tourbillon à Paris
Flamme et s’enflamme
            Tour à tour
Comme une chaîne de désespoir
Et de jalousie d’ami
Tout doucement on avance d’âge
D’une seconde de silence
Et de douceur de volcan
Lara

La mer est la seconde
La chaîne de mariée
Tourbillon de Paris, flamme de croissant
Le doucereux de la vague du jeune âge
Antonin

Les vagues forment un tourbillon
Les flammes de Paris ont une forme secondaire
Au volcan du croissant s’approche de la mer
Malik

Les vagues de la mer s’agitent beaucoup
Tour à tour des amies se marient
Dans leur vie tourbillonne la jalousie
Tous les matins, il mange un croissant
Il se promène dans Paris tout l’après-midi
Pour eux chaque seconde sans se voir est une éternité
Marina

Une flamme tourbillonne
Une vague ne perd pas une seconde
Une mariée pleine de jalousie
Une chaîne ne sait pas son âge
Eléna


Entre les tourbillons qui jouent tour à tour
Avec le volcan, et quand les flammes
Se déchaînent pendant des centaines de seconde
Le croissant de lune s’enchaîne
À Paris, le marié a de la jalousie
Et les vagues de la Seine sont doucereuses
Dans la mer, il y a plein d’amis de chaîne
William

Tour à tour, les flammes
Tourbillonnaient comme des vagues
La jalousie doucereuse
L’âge était ami avec Paris
Les volcans ressemblaient à des croissants
Les rêves voguaient vers la mer
Valentine

Un ami inconnu
Avec la jalousie et l’âge
La mer et les vagues
Anonyme

Mon mari est âgé à Paris
Tourbillon, tourbillon, tourbillonne de chaînes
La mer est jalouse
Laureleen
La mariée est jalouse de ses amis
Gabin

Les sangliers mangent de la pizza
Et boivent de la limonade
Lara

Le printemps est là
Avec le soleil
Un papillon mange
Un hot-dog
Avec un sanglier
Qui joue au foot
Et un gâteau est amoureux d’une fleur
Une cavalière boit
Un grand verre de limonade
Une pizza est
À la retraite et
La pizza est en vacances
Du coup elle fond
Puis elle finit
Dans un estomac
Et la nuit
Un agriculteur
Galope dans le champ
L’écureuil a peur
Il court très vite
L’oiseau picore
Des vers de terre
Et se cache dans des arbres
Puis l’Italien pousse un cri :
« Le sanglier joue au foot ».
Élina

Les papillons galopent avec les chevaux
Et leur cavalière
Une nuit de vacances
Les hot-dogs se sont transformés
En gâteau puis en limonade
Et en pizza
Les écureuils sont dans les champs au soleil
Ils jouent au football avec les sangliers et les oiseaux
Ils écrasent les fleurs
Avec leurs grosses et petites pattes
Valentine

Le soleil est au salon de l’agriculture
Les sangliers aiment le football
Dans la nuit les papillons
Mangent de la pizza
La cavalière monte sur un écureuil
Gabin

Le printemps arrive dans le sombre noir
Une fleur pousse dans la nuit
La lune éclaire le soleil
La cavalière sur son cheval
Galopait dans la nuit
Un papillon se pose sur une fleur
Dans un champ
Le printemps est bien terminé
Après ce poème, on passera
À l’été
Adèle

L’oiseau adore grignoter des gâteaux
La cavalière part en vacances au printemps
Les écureuils poursuivent les papillons
Le cheval mange de la pizza avec sa cavalière
Pendant les vacances
Marina

Attention ! Un sanglier arrive
Il va chiper la pizza
Le sanglier fonce et refonce
Pour manger
La meilleure pizza du monde
Gregory

On pourra enfin sortir
Manger des pizzas et des hot-dogs
On pourra manger des gâteaux
Sous le soleil sur les roches
On croisera des sangliers
Le cheval galope
Il y a une cavalière
Au loin l’amour de sa reine
Qui boit une limonade dans les gradins
Les joueurs de foot rentrent chez eux
Car les papillons de nuit arrivent
Le lendemain, les fleurs éclosent
Les oiseaux réels dans le ciel
Les serpents montent aux arbres
Les enfants sont en vacances
Ils pourront enfin faire de l’agriculture
Antonin

L’été on voit des oiseaux
Des papillons et des cavalières
On rencontre des filles
Belles comme une fleur
On voit des écureuils avec leurs noisettes
Plein de gens trouvent leur amour
En vacances
Émilien

Quand le soir arrive
Le printemps revient
D’une fleur épaisse
Que le cœur s’enflamme
D’un amour de nuit
Que les papillons reviennent
D’un oiseau, les vacances
Tout à bronzer au soleil
De galoper en vitesse
Tout en s’éclairant d’une autre langue
Qui revient peu à peu
Et que mon écureuil
Repasse peu à peu
Lara


La grammaire, c’est la paix
Les maths sont reparties
Tout en t’écrivant ma poésie
Un poème pacifique
Que mon cœur s’envole
De dire au revoir à l’école
Et de dire bonjour aux vacances
Lara

Mon cœur s’envole
Tout en haut d’un rocher
Que la vie revienne
Tout en haut du monde
De mes planètes Terre
Mon amour regarde
La paix, la vie et la liberté
Regarde à travers mon espoir
Lara

Les fleurs s’ouvrent
Les papillons galopent avec les oiseaux
Les écureuils se réveillent au soleil doux
Les sangliers se réveillent la nuit sombre
Les vacances viennent avec le soleil doux
La lumière vient du printemps.
Jade

Les oiseaux chantent dans la nuit
La limonade fait des bulles
Le soleil tourne autour des têtes
L’amour fait des enfants
Une fleur fait des révélations
Lucas

La nuit, les gens rêvent
Ils sont sur une autre planète
En train de penser à l’avenir
La cavalière est au galop sur son cheval
Séléna

Un joli papillon
Se pose sur une fleur
Il a un amour pour lui
Et il s’en va
Un cheval vient
Au galop
La nuit tombe
Lily-Rose

Un enfant se souvient
Du verre de son enfance
Venu de l’espace
Tous ses souvenirs sont dans une armoire noire
Soudain une odeur traverse la pièce si poreuse
Qu’il n’en gardait presque rien
L’enfant rechigne
Avec un goût âcre
À l’intérieur de la bouche
William et Nolan

Un flacon de parfum
Jaillit dans une maison
Un vieux coffre noir
Se souvient d’une odeur
Venue du temps
Anonyme


Dans l’Égypte
Vit un désert
Une fille
Avec une trompette
Et un éléphant
Dans sa tristesse
Et un peu de colère
Elle est à la recherche
D’une ville avec la neige
Et des rivières
Elle reprend sa trompette
Et fait de la musique
Comme un charmeur
De serpent
Nolan

Des escaliers enchaînent sur des corridors
La peur aux yeux
Un enfant voit un emblème
Sous le silence de la lune écrasante
Les horloges se cognent
Soudain un verre en noir d’antan se vide
Là-bas, un vieux avec des béquilles et un bâton
Rentrait dans la demeure et une horloge naïve
Qui avait plein de problèmes
La nuit, des heures passent
Et des fleurs poussent
L’enfant est derrière, émail et maigre
Des adultes dévalent une montagne qui chiffre
Leur chien avec une fille et un garçon
Dans une maison, ils mangeaient
Mais le garçon n’avait pas faim
Nolan et Wiliam

Dans un pays d’Inde
Il y a de la tristesse
C’est l’enterrement de Jean-Michel Colère
Sur le côté, il y a un animal
Un lama qui représente des sentiments
Dans ce pays
William

Dans le désert
Il existait un troupeau de lamas égyptiens
Qui assistait à un enterrement
Car leur copain a fait une trahison
Ils rencontrent un éléphant qui faisait de la trompette
Pour charmer les serpents
Le groupe de lamas était tellement lent
Qu’il s’est perdu dans le désert.
William

La tristesse
Vient apporter
De la colère
Surtout
Après la trahison
D’une
Petite
Fille
Seule
Et triste
Dans l’eau froide
Et les glaciers
Et la voix
Qui reste tremblante
Comme dans un enterrement
Jade

Contre mes jambes, ce coffre brille
Son cuir épais reste plein
Un petit verre blanc moderne oui, oui, simple voyageur proverbial
Ma valise et sa valise embaument de la Vanoise
Le cheval fidèle pose un trésor
La chambre au massif des Angles
Familière m’accompagne
Un livre comme ma lecture, comme l’hôtel
Je le flatte aussi, je harnache, et il reste un attirail
Le plat, en somme, comme les plis blancs
L’encolure de cheval
Je selle un livre déjà
Ma vêture singulière sanglée comme une bride
Jade, Valentine et Lillou

Une petite fille se promenait
Dans le désert près d’une petite ville
La mer salée entoure la colère
La chouette ouvre son cœur
L’Inde est un charmant pays
On cultive les endives sous le soleil
La forêt manque aux animaux
Antonin


Le navire
Monstrueux
Connaît un frisson
Sombre
À l’effrayante
Obscurité des étoiles d’aurore
Le ciel énorme sans mer qui porte son chemin
Parfois, frémissant humain, le sort semble
Fourmillement de vaisseaux
Marche moins
Ô DIEU, nos maux flottent
Qui s’emmêle, qu’on vogue
Lillou, Valentine et Jade

Le navire flotte vers la mer monstrueuse
Des étoiles obscures qui semblent humaines
Du vaisseau dans le noir qui roule
Le ciel d’aurore marche
Parfois vers l’azur
Antonin et Gabin

La forêt sous la neige
La ville est en Égypte, avec des Égyptiens
La rivière est lente
Avec de la danse classique
Gabin

Ça me fait penser à une fille qui danse de la danse classique dans la forêt enneigée, et les arbres tout blancs, et une personne joue du piano et une autre de la flûte et une autre de la trompette. Ça me fait penser qu’elle est triste. Et un charmeur de serpents arrive, et la fille a des sentiments pour lui, puis ils parlent, puis ils s’embrassent. Un lama et un éléphant arrivent avec plein d’autres animaux. Puis la fille part avec le charmeur de serpents dans plein de pays comme l’Inde et l’Égypte, ensuite au désert. Puis ils décident de faire construire une maison au désert, mais le charmeur de serpents meurt de soif. La fille au désert le fait enterrer et continue sa vie.
Ailleurs, un soir, elle part laver son linge à la rivière, et là-bas, elle rencontre un homme. Mais son amoureux la quitte pour une autre fille. Elle décide de partir en Égypte, et là-bas elle rencontre un Égyptien, et ils font des enfants. Un soir, ils entendent une voix, et c’est un jeune garçon abandonné. Alors, ils l’adoptent, puis vivent heureux ensemble, et en marchant, ils repartent au désert tous ensemble.
Émilien


L’incohérence
Il ne suffit pas de toucher un corps
L’étoffe du lieu humain
Plié sur l’œil
Faudrait d’autres comportements
Abondamment sur l’eau commune
Ne pas ressembler à des images éteintes
Et la pensée
Le gravier de peur
Ceux qui tentent de verser toutes choses
Ils réfutent chaque drap
Une lettre d’un autre livre
Qui dit un nom d’un autre côté
Sur une feuille quadrillée mesure
Le bois de trois sur les objets
Bas ceux qui gisent
Émilien et Grégory

Chauffe le fer ou je te frappe
Avec un marteau
Et remonte dormir
Dans le noir pour te balancer
Longtemps avec sa force
Gabin et Antonin

La neige pleine de maladie
De façon toutefois
Aboutit aux halles
L’éclat duquel
Enferme sur ses fruits fondants
Deux fois au cachot
Alors les plus légèrement sympathiques
Encore être simple longuement
La langue dure ainsi
Au transport maladroit
Les coins tout neufs de la caissette nuageuse
À claire-voie sans retour à mi-chemin
Encore ne sert pas du terme
Ce sort s’appesantit
Brisé en somme une pose
Sans vanité et sans effort
D’être jeté
Grégory et Émilien

Un livre de la Vanoise m’accompagne
Comme un cheval fidèle contre mes jambes
Antonin et Gabin

Une meurtrière a tué le cœur de la petite fille
Ils font un enterrement
Ses parents pleurent
Appellent le détective Paul
Paul veut gagner le cœur d’Élina
Mais elle refuse, elle l’a déjà donné
Grégory

Un vieux coffret de parfum
Était poudreux et sombre
Dans l’armoire qui menait au désert
Un curieux homme grinçait des dents
En ouvrant sa bouche
Et on aurait dit qu’il criait de l’Orient piquant
Parfois le verre était plein
Des fois il était vide comme une serrure
Un désert, c’était vide
Une flamme, elle était pleine de chaleur
Adèle

Les médaillons du vieux temps
Les parfums sentaient si bon
Qu’on tombait par terre
Élina

Cet air a pris
Des mèches de cheveux
Et les grandes Françaises
Trouvaient des bruits dans le buffet
Comme tes contes
Élina

Les horloges
Et les heures
Se cognent
Avec le silence
Nos demeures étaient naïves
Comme les escaliers noirs
Des fleurs dévalaient
Les collines par-derrière
Et les montaient
Par-devant
Adèle

J’ai vécu le monde
Des bruits de mon cœur
Parfumé de lumière
Et sur tes yeux
Des couleurs de douceur
Du ciel
Lara et Lily-Rose


Une petite fille
Seule dans la neige
Abandonnée, danse sur
Le désert avec de la colère
Un animal passe lentement
Pas à pas sur l’eau amère et salée
Une voix venant de l’Inde
Avait des accents de colère
La petite fille avait le cœur plein de tristesse
Une musique toute douce comme l’eau
Arrivait comme une fourmi
Et apaisa la colère
Puis la voix n’était plus amère comme une endive
La musique avait tout apaisé
La petite fille avait compris qu’elle était
LIBRE
Adèle

Une petite fille seule
Et abandonnés
Au bord d’une rivière
Triste et sombre
Un serpent couvert de neige
Venu d’Inde
La danse aux endives
Venue des forêts
La ville salée
Reliée à la colère amère
Et lente
Les pas de l’éléphant
En musique
Dansent
Sur des pas libres
Un animal dans la forêt
Au milieu des chouettes
Valentine

Sources de rosée
De danse et du temps
À la mer du vent
Et c’est que je ne sais plus
Faire un rond chargé
Pas toujours nocturne
Lily-Rose et Lara

Tout son sentiment
Tout comme l’Égypte
Se relie peu à peu
Ou tôt à tout
Se renvoie d’une douceur
De musique dansante
Que pas à pas
Avance la voix
Près à près
Qui rejoint le piano
L’eau et la mer
D’un mouvement lent
Dit comme tout
Se revoit au cœur
De tout ce qui est libre
Et redevient classique
Et revient peu à peu
D’un mouvement classique
Que tout revient
Comme il le souhaite
De grands papillons
Et que tout redevienne normal
Lara

Dans un petit village d’Égypte
Était installé un charmeur de serpents
Les gens étaient attentifs
Car ils aimaient sa musique
Dans la lenteur de son instrument
Il décrivait des sentiments
Le serpent était envoûté
Ce charmeur n’était pas normal
La musique envoûtait
Elle était classique
Ce qui ne laissait pas les gens insensibles
Faustine

Il faisait de la musique
Comme un charmeur de serpent
Dans un style classique
Mais ils le faisaient très lentement
Il le faisait dans le désert
Cela faisait penser à un enterrement
Au fond de la rivière
Il y avait un instrument
Il était libre
Libre comme l’air
Il lisait un livre
Auprès de la mer
Ludaïne

Un animal égyptien qui danse
La forêt qui marche avec
La ville du serpent a un goût amer
Avec un enterrement salé
Et les pas de la voix m’emmènent
Dans l’Inde
Et la rivière qui recherche le lama
Qui joue de la trompette
Avec la voix qui danse seule avec une ville
Qui chante dans le cœur
Élina


Comportements de l’autre
Rassembler un corps
La pensée tente de l’autre
L’incohérence
Il ne suffit pas de livres humains
De l’image de chaque commune
Ils touchaient le gravier
Ceux d’une eau
Lily-Rose et Lara

Sur les planètes et les astres
Jusqu’à l’infini
Dans son vaisseau d’azur
L’extra-terrestre a du suspense
Car il s’en fiche
Du voleur, mais son braquage
De l’espace est tellement monumental !
Malik

On a peur
Il y a au moins
Mille étoiles dans la galaxie
Un trou noir avec
Le soleil qui frissonne
Et la météorite qui tombe
Sur une vague et puis
La vague rejoint les étoiles
Élina

Je marche dans la peur
Malik

Le voyage des extra-terrestres
Et la planète Mars !
Gabin

Le voyage fait des recherches et du suspense
Et il y a au moins mille étoiles dans la galaxie
Il y a des vaisseaux spatiaux comme des fusées
Tout le monde me regarde dans la planète
Et les extra-terrestres me trouvent bizarre
Et je vois un trou noir
Séléna

Les étoiles ont peur
Du trou noir
Avec le temps
Ils ont des tambours
Le soleil est monstrueux
Avec ces chaleurs
Mars est en frisson
Avec les recherches des astronautes
La terre est en vie
Extra-terrestre
Pour les planètes sombres
Les météorites en feu
Viennent du monde
Les fusées défilent
Avec le temps
Il ne pleut jamais là-bas
Il fait toujours chaud
Jade

Le ciel recherche
Des trous noirs
Le Soleil et la Lune
Donnent des frissons
Dans les étoiles
Le voyage suspend la terre
La nuit et le globe
Les vagues effraient Mars
Les astronautes recherchent
Les azurs infinis
Les météorites sombres
La chaleur et la pluie
Du temps de nuit
L’espace tambour
Le feu satellite
Valentine

Je suis un astronaute
Venu de la terre
Et ma quête est de réunir
Toutes les données
Sur toutes les planètes
Dans ma super fusée végétale
Et je vais sauver la terre
Wiliam

Une personne envoie un satellite sur Mars pour l’observer. Et le créateur de ce robot s’appelle Azur. Deux jours plus tard, il trouve des extra-terrestres sur Mars. La planète est très chaude. Tout d’un coup, une météorite atterrit. Azur réfléchit : si un robot peut survivre sur Mars, pourquoi pas un humain ?
Du coup, deux mois plus tard, Azur prend une fusée et part dans l’espace avec un autre astronaute qui s’appelle Théo. Ils atterrissent sur Mars et rencontrent les extra-terrestres. Le problème, c’est que les extra-terrestres ont peur d’eux. Azur et Théo trouvent un endroit sur Mars où ils peuvent dormir. Le lendemain, ils étudient la planète et en même temps le soleil et l’espace. Puis, tout d’un coup, ils voient un monstre et Théo a des frissons. Mais ce n’est que le satellite-robot d’Azur. Deux mois plus tard, ils retourneront sur la terre.
Émilien

Je m’envole de terre dans ma fusée
Les étoiles me touchent
Notre planète s’éloigne
Elle est verte et bleue
Les planètes sont habitées par des extra-terrestres
Nous sommes dans une autre dimension
La quatrième galaxie, Mars est jaune
Antonin
Après le soleil, il y a le ciel
Et en dessous, il y a la terre
Les étoiles, recherchées par
Un astronaute dans un vaisseau spatial
Dans le temps, les trous noirs
C’est tout sombre, effrayant
Et plein de météores
Dans toute la galaxie
Les extra-terrestres
En dessous du soleil
Sont dans la chaleur
Leur planète est Mars
Nolan

J’ai vu un cube géant
Mais sa direction est vitale
Il va vers le trou noir, passe la lune ensuite
Il passe à côté du soleil
Ensuite le trou noir
Fonce vers lui
Avec des déchets
Au bout d’une minute
Le cube est dans le trou noir
Et c’était fini pour les extra-terrestres
Pour toujours
Lily-Rose

J’espère qu’il tombera de la pluie
Avant que je ne sois en cendres !
Adieu, la pluie n’est pas tombée
Je suis en cendres, mon âme vole partout
Homme sur terre
Le voyage, le feu et l’infini
Il faut trouver une planète
Comme Mars ou Jupiter
Le monde est trop gros
Bientôt le soleil, la lune
Les terres et les gens
Se toucheront et seront
Serrés comme des sardines
Reprenons ensemble :
« Ah que l’on est serré
Au fond de cette boîte
Chantent les sardines
Entre les aromates »
Le temps passe
Les météorites vont bientôt tomber
On ne pourra plus vivre
Adieu, je suis en feu
Adèle